Le prêtre, ce mal aimé
On ne comprend pas que des fautes graves de la traduction actuelle aient pu être acceptées par les évêques de l’époque, quand ces fautes concernent le sacerdoce. On ne comprendrait pas davantage qu’aujourd’hui des évêques veillent maintenir ces traductions fautives, alors que la crise des vocations n’a jamais été aussi forte.